|
Autour de
|
|
David AMSELLEM, co-fondateur, Cassini Conseil
|
|
Philippe COPINSCHI, expert des questions énergétiques internationales, enseignant à Paris School of International Affairs (Sciences Po)
|
|
Manfred HAFNER, expert des questions énergétiques internationales, professeur d’études internationales sur l’énergie à Paris School of International Affairs (Sciences Po) et Johns Hopkins, University School of Advanced International Studies (SAIS-Europe)
|
|
Alice JACQUET-FERRAND, Senior Consultant, Enerdata
|
|
Fabrice POULIN, CleanTech Unit Manager, Enerdata
|
|
|
|
Animée par
|
|
Pierre LABOUÉ, chercheur à l’IRIS spécialisé sur les questions énergétiques, coordinateur de l’Observatoire de la sécurité des flux et des matières énergétiques.
|
|
|
L’hydrogène décarboné est au cœur des stratégies de transitions énergétiques de nombreuses grandes puissances, dont l’Union européenne et ses États membres. Ce nouveau vecteur énergétique doit permettre de décarboner des secteurs industriels, stocker de l’électricité et propulser la mobilité de demain, en particulier là où l’électrification directe est difficile. C’est une véritable révolution verte à même de bouleverser la géopolitique de l’énergie au niveau global. Pour s’imposer et maîtriser cette nouvelle industrie, la France y investira 7 Md€ à l’horizon 2030 tandis que l’Allemagne est prête à aller jusqu’à 9 Md€. Mais l’UE et les pays européens ne sont pas les seuls en lice. Le Japon, la Corée du Sud, l’Australie, la Chine ou encore les États-Unis ont également engagé d’ambitieuses stratégies de développement de la filière hydrogène. Alors que la chaîne de valeur de l’hydrogène est plus complexe que pour les hydrocarbures, à quoi ressemblera la future géopolitique et géoéconomie de l’hydrogène ? Qui seront les grandes puissances de l’hydrogène et quelles sont leurs stratégies pour s’imposer à l’international ? Quelles nouvelles dépendances géostratégiques pourraient émerger pour l’UE et comment compte-t-elle y faire face ?
|
|