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Thierry Coville
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Chercheur à l'IRIS

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Thierry Coville

Thierry Coville est chercheur à l’IRIS, spécialiste de l’Iran.

 

Il est professeur à Novancia où il enseigne la macroéconomie, l’économie internationale et le risque-pays.

 

Docteur en sciences économiques, il effectue depuis près de 20 ans des recherches sur l’Iran contemporain et a publié de nombreux articles et plusieurs ouvrages sur ce sujet.

 

Il travaille également sur la problématique des économies pétrolières.

 
Études
Analyses
 
 
03.04.2014
Le président yéménite a accusé lundi 31 mars l’Iran de soutenir les indépendantistes sudistes et les rebelles nordistes dans son pays. Ces accusations d’ingérence sont «sans fondement» a répondu Téhéran mercredi 2 avril. «De tels propos sont tenus alors que se poursuivent les ingérences au Yémen et les actions de...
 
 
21.03.2014
L’Iran et les puissances du groupe « 5+1 » (Chine, Etats-Unis, Russie, France, Royaume-Uni, et Allemagne) ont à nouveau discuté du programme nucléaire iranien lors d’une rencontre mercredi 19 mars à Vienne. Les différentes délégations espèrent, d’ici au mois de juillet, arriver à un accord final après la signature d’un...
 
 
18.03.2014
L’une des inconnues réside dans les positions de la Russie, qui dans un contexte de tensions avec les Occidentaux pourrait faire cavalier seul afin de privilégier sa coopération bilatérale avec l’Iran. Mais pour Thierry Coville, chercheur à l’IRIS et professeur à l’école de commerce Novencia à Paris, il est peu...
 
 
12.03.2014
Dans l’affaire de l’avion de Malaysia Airlines disparu dans la nuit du vendredi 7 au samedi 8 mars, l’annonce par la police que l’un des deux passagers voyageant à bord avec des passeports volés était iranien avait suscité des rumeurs et des craintes d’un attentat. Mardi 11 mars, la police...
 
 
19.02.2014
L’Ayatollah Khamenei s’est récemment illustré par ses déclarations sur l’avenir des discussions de Vienne, allant jusqu’à affirmer qu’il "n’était pas optimiste [sachant] que les négociations ne mèneraient nul part", tout en assurant qu’il n’était pas opposé au dialogue. Comment expliquer l’adoption de ce double discours après les premiers signes d’ouverture...