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Jean-Jacques Kourliandsky
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Chercheur associé à l'IRIS

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Jean-Jacques Kourliandsky

Jean-Jacques Kourliandsky est chercheur associé à l’IRIS sur les questions ibériques (Amérique latine et Espagne).

 

Consultant sur les situations relatives à ces régions auprès de l’administration publique et des entreprises, il intervient également auprès des Fondations Friedrich Ebert et Jean Jaurès en Amérique Latine.

 

Membre du Comité de rédaction de La Revue internationale et stratégique, éditorialiste dans les publications mensuelles, Espaces Latinos et Revista Latina, il publie régulièrement dans Universalia, les Annales d’Amérique latine et des Caraïbes, et de façon occasionnelle dans divers ouvrages : Croissance, Réussir à l’étranger, Le Moci, Ramses…

 

Il est également l’auteur d’une étude sur la revendication nationaliste au Pays – Basque espagnol publiée par l’IHESI, d’un numéro spécial de la revue Problèmes politiques et sociaux intitulé, « Espagne, la deuxième alternance démocratique » et d’un ouvrage sur le Costa – Rica aux éditions La Manufacture.

 

Jean-Jacques Kourliandsky est diplomé en sciences politiques et docteur en histoire.

 
Études
Analyses
 
 
19.01.2018
Le point de vue de Jean-Jacques Kourliandsky
L’élection de ce jeudi du président de l’Assemblée catalane semble ouvrir un moment d’apaisement a minima dans un dossier qui semble actuellement verrouillé. Les sujets majeurs font cependant toujours l’objet de frustration au sein de chaque camp. À la crise politique s’agrège la crainte d’un affaiblissement économique de la région,...
 
 
24.11.2017
Où en est aujourd’hui le processus de paix ? S’il a bien commencé, il s’est embourbé à partir du référendum manqué du 2 octobre 2016. Le président est en fin de mandat : c’est la grande faiblesse de ces accords de paix. Il n’a pas vraiment de successeur, et la...
 
 
21.11.2017
Une page de l’histoire chilienne a été tournée dimanche 19 novembre 2017. Sebastian Pinera, le candidat des droites, est poussivement arrivé  en tête de la présidentielle, avec 37% des suffrages exprimés. Il avait déjà été élu de 2010 à 2014. Il était alors le représentant d’une droite présentable, sans compromission...