Chercheurs
 
Jean-Jacques Kourliandsky
English Version
Chercheur associé à l'IRIS

+33 (0)1 53 27 60 60
Jean-Jacques Kourliandsky

Jean-Jacques Kourliandsky est chercheur associé à l’IRIS sur les questions ibériques (Amérique latine et Espagne).

 

Consultant sur les situations relatives à ces régions auprès de l’administration publique et des entreprises, il intervient également auprès des Fondations Friedrich Ebert et Jean Jaurès en Amérique Latine.

 

Membre du Comité de rédaction de La Revue internationale et stratégique, éditorialiste dans les publications mensuelles, Espaces Latinos et Revista Latina, il publie régulièrement dans Universalia, les Annales d’Amérique latine et des Caraïbes, et de façon occasionnelle dans divers ouvrages : Croissance, Réussir à l’étranger, Le Moci, Ramses…

 

Il est également l’auteur d’une étude sur la revendication nationaliste au Pays – Basque espagnol publiée par l’IHESI, d’un numéro spécial de la revue Problèmes politiques et sociaux intitulé, « Espagne, la deuxième alternance démocratique » et d’un ouvrage sur le Costa – Rica aux éditions La Manufacture.

 

Jean-Jacques Kourliandsky est diplomé en sciences politiques et docteur en histoire.

 
Études
Analyses
 
 
08.10.2018
Pourriez-vous commencer par un bilan de l’action du PT, longtemps discrédité durant la campagne ? De 2003 à 2016, le Brésil a été dirigé par des présidents de centre-gauche, Lula da Silva, puis Dilma Roussef. Ils ont eu une politique permettant de grandes avancées sociales avec l’exemple connu des bourses...
 
 
Un étrange branle-bas agite les médias depuis quelques jours. À l’approche du 7 octobre, date du premier tour des élections présidentielles. L’extrême-droite, nous disent-ils, est aux portes du pouvoir au Brésil. Une extrême-droite qui a un nom bien identifié, l’ex-capitaine, Jair Bolsonaro, en tête dans les sondages pré-électoraux, avec 31%...
 
 
25.09.2018
Y aura-t-il un deuxième tour le 28 octobre prochain ? La question peut paraître incongrue. Elle sous-entend qu’il y aura bien un premier tour, le 7 octobre. Pourquoi donc dans ces conditions n’y aurait-il pas un deuxième tour, comme le prévoient les règles brésiliennes en la matière ? Le doute est fondé...